Lier sa page Facebook à son compte Instagram

Dans un soucis d’optimisation de ses médias sociaux, un client m’a dit qu’il voulait lier sa page Facebook à son compte Instagram. Je ne suis toujours pas fans de publier toutes vos publications en même temps sur deux médias sociaux différents. En effet, chaque média devrait avoir sa propre stratégie. Par contre ici, il y a un réel avantage. Maintenant que ces deux médias sont dans la même famille, il n’y a pas de raison de ne pas lier les deux comptes. En effet, vous pouvez contrôler certains éléments de votre page Instagram par Facebook et, surtout, vous pouvez faire de la publicité Instagram à partir des outils Facebook. Cela évite de passer par votre tablette ou votre téléphone. On peut aussi diffuser une publicité en un clic sur les deux plateformes.

Comment lier sa page Facebook à son compte Instragam ?

  • Allez dans Paramètres sur votre page professionnelle.

Lier sa page Facebook à son compte Instagram

  • Choisissez l’onglet Instagram dans le menu de gauche.

Lier sa page Facebook à son compte Instagram

  • Appuyez sur « Se connecter »

Lier sa page Facebook à son compte Instagram

 

À partir de là, il suffit d’entrer son mot de passe et son nom d’utilisateur. Si vous n’en avez pas, c’est possible de créer le compte ainsi (mais je vous conseille de vous connecter rapidement sur mobile pour porter des ajustements). En effet, à moins de passer par un outil externe, on ne peut pas publier sur Instagram à partir de son ordinateur.

Lier sa page Facebook à son compte Instagram

Les limites du référencement.

Plusieurs éléments peuvent avoir une influence sur le référencement de votre site. Il importe d’en faire le tour avant d’amorcer quelque travail d’optimisation du référencement que ce soit. Parce que les limites du référencement sont bien réelles.

La technologie

Est-ce que votre site utilise du flash? C’est de moins en moins courant, d’autant plus que ce procédé a mauvaise réputation, mais on le voit encore et ça a tendance à pénaliser le positionnement du site. À proscrire.

Le contenu

Le contenu peut être une des limites du référencement.

Avez-vous un contenu faible? Cela peut couvrir trois champs :

  1. Il manque de texte (moins de 350 mots par page).
  2. Il y a du contenu dupliqué. Cela couvre plusieurs situations. Ça peut être le même contenu sous deux URL différents. Ça peut aussi représenter une même méta-description pour deux pages différentes.
  3. Votre contenu est de mauvaise qualité. Comment fait-on pour déterminer le dernier point : lorsque le taux de rebonds est élevé (donc que les visiteurs ne restent pas sur le site), lorsque le pourcentage de nouveaux visiteurs est élevé (cela veut dire qu’il n’y a pas de retour) et, enfin, lorsque le taux de conversion est inférieur aux attentes.

Truc : si vous avez une page avec peu de contenu comme une page de formulaire, vous pouvez ajouter une balise « noindex » pour demander aux robots de ne pas l’indexer.

Les freins à la navigation

Vous avez des cookies sur le site. Dans certains cas, si le navigateur n’accepte pas le cookie (ou mouchard), il est bloqué. Comme les robots ne peuvent pas le faire, ça a le même effet. Assurez-vous d’avoir une alternative ou encore d’introduire les cookies le plus tard possible dans la navigation.

Il faut inscrire un mot de passe pour accéder au site. C’est le même principe que pour les cookies. Le robot est bloqué et ne peut donc pas indexer le site ou cette section du site.

Votre site est trop lent à charger. Près de 50% des internautes vont quitter un site qui prend plus de deux secondes à charger.

Les avantages et inconvénients des liens sponsorisés

Maintenant que nous avons parlé des limites du référencement naturel, qu’en est-il du référencement payant?

Les avantages

Rapidité d’exécution : lorsque la campagne est lancée, les résultats arrivent dans les minutes suivantes, contrairement au référencement naturel qui est un travail de longue haleine.

Paiement au clic : cela a deux attraits. Premièrement, plus on met d’argent, plus on génère de trafic. Aussi, on ne paie que pour les gens qui viennent sur le site (encore faut-il s’assurer que ce soit les bonnes personnes).

Plusieurs possibilités de suivi (surtout en jumelant Google AdWords avec Google Analytics, ce qui permet de suivre les visiteurs et, donc, son retour sur investissement).

Les désavantages

Le grand désavantage, c’est que c’est une situation temporaire. Dès qu’on cesse de payer, le trafic s’arrête. Contrairement au référencement naturel, il n’y a pas d’effets durables.

Les internautes ont tendance à donner moins de crédibilité aux liens sponsorisés qu’aux résultats naturels.

Enfin, une campagne mal calibrée peut coûter très cher… sans grands résultats.

 

automatisation

Le désavantage de l’infolettre classique, c’est qu’on doit toujours créé de nouveaux contenus et que le nouvel abonné entre en quelque sorte au milieu de la conversation. Tous les contenus créés dans les premières infolettres sont perdues. Bien sûr, on peut les réutiliser ou les adapter, mais quand même, c’est dommage de les perdre pour rien. D’où l’intérêt de l’automatisation.

Avec l’automatisation, on peut créer une séquence de courriels. Cette séquence peut être lancée par différents « triggers » ou déclencheurs en bon français. Par exemple, si quelqu’un télécharge votre livre numérique sur les différentes sortes de placement, vous pourriez lui envoyer une séquence de courriels pour vendre vos services de planificateur financier. C’est différent de l’infolettre qui est un envoi massif du même contenu à plusieurs personnes en même temps. Ici, on envoie le contenu individuellement. Au final, plusieurs personnes vont recevoir le même contenu, mais pas au même moment.

La beauté de la chose, c’est qu’il est possible de créer différentes séquences selon différents déclencheurs. Par exemple, si un déclencheur est près de l’action d’achat (par exemple un bouton pour dire que le client est intéressé par une formation), on peut se permettre d’être plus agressif, car il s’agit d’un lead sérieux. Pour une autre action plus éloignée de l’action d’achat, on opterait pour une autre approche.

Pourquoi intégrer l’automatisation?

Presque tous les services de gestion d’envoi de courriels offrent maintenant le service d’automatisation. Même que sur Mailchimp, cette option est maintenant gratuite (alors que c’était payant jusqu’au printemps 2017). Cela dit, il y a des outils plus puissants et plus précis. Par contre, l’avantage de Mailchimp, c’est qu’il offre plusieurs modèles faciles à mettre en place. Pour un débutant, c’est l’idéal. Surtout si vous gérez déjà votre infolettre avec cet outil.

Le grand avantage de l’automatisation, c’est qu’une fois que les outils sont mis en place, cela demande très peu de travail, car tout se fait de façon automatique. On entraîne le client dans un tunnel de vente. Si jamais les résultats ne sont pas intéressants, il est toujours possible d’apporter des ajustements. Mais si cela fonctionne bien, cela devient presque un revenu passif.

L’autre avantage de l’automatisation, c’est que cela permet de sauver du temps lorsque l’on doit fournir la même information. Par exemple, si vous offrez une formation, il y a de fortes chances que la plupart des gens intéressés aient des questions similaires. Plutôt que de répondre à chacun, une série de courriels bien pensée peut permettre de donner ses réponses tout en augmentant le taux de conversion (le nombre de personnes qui choisissent de s’inscrire).

Différents types de déclencheurs

automatisation - declencheurConcrètement, il y a plusieurs déclencheurs possibles pour lancer la séquence d’automatisation. Le plus classique, c’est lorsque le client rempli un formulaire (par exemple pour recevoir un cadeau ou un code pour obtenir un rabais).

En gros, le client rempli le formulaire pour demander son bonus. Dans le formulaire, il doit entrer son courriel qui entre dans la banque de donnée de l’automatisation. Il va recevoir son livre numérique ou son code de promotion par courriel, puis la séquence va s’enclencher automatiquement un jour (ou deux, ou trois, selon votre désir) plus tard. Par exemple, vous pourriez lui demander, dans un premier temps, s’il a des questions. Ensuite, vous pourriez lui parler de votre promotion en lien avec ça. Pour une idée plus complète d’une séquence, voir le prochain chapitre.

Cela peut aussi être lié à une date (à chaque anniversaire une séquence est enclenchée ou encore lorsque cela fait un an qu’il est dans la base de donnée ou tout autre moment pertinent pour vous).

On peut créer une séquence pour les gens qui ont abandonné leur panier, pour ceux qui viennent de compléter leur premier achat, pour quelqu’un qui vient d’acheter un produit spécifique, pour quelqu’un qui n’a pas acheté depuis longtemps ou, au contraire, pour vos meilleurs clients. Les possibilités sont multiples.

À l’intérieur d’une séquence, il est même possible de créer des sous-séquences en fonction des actions des prospects. Par exemple, s’il ne s’inscrit pas à une formation, il pourrait recevoir une nouvelle série de courriels. Attention toutefois de ne pas en abuser. Cela peut s’apparenté à des pourriels et donner une très mauvaise image de votre entreprise.

Vous avez un profil LinkedIn invitant qui vous met en valeur. Ce n’est que la première du travail. Pour obtenir des résultats intéressants, vous devez investir du temps et de l’énergie pour bâtir un réseau LinkedIn. Parce qu’au final, c’est la force de votre réseau qui va faire en sorte que vous atteigniez des résultats ou non.

Voici six astuces pour gagner du temps et obtenir de meilleurs résultats lorsque l’on développe son réseau LinkedIn.

1)   Inviter ses contacts à joindre son réseau LinkedIn

La première chose à faire est d’inviter vos contacts professionnels à rejoindre votre réseau LinkedIn. Faites le tour de vos anciens collègues, vos fournisseurs, vos partenaires, etc. Si vous allez dans un déjeuner d’affaires ou un autre événement de réseautage, invitez les gens avec qui vous avez parlé à joindre votre réseau. Essayez autant que possible d’éviter la formule toute faite. L’idéal, c’est d’envoyer un message personnalisé et non une invitation générique.

Après avoir trouvé un contact intéressant, appuyez sur « Se connecter », mais au lieu d’envoyer tout de suite, appuyez sur « Ajouter une note ». Cela vous donne la possibilité de personnalisée votre approche.

D’ailleurs, l’inverse est aussi vrai. Quand il arrive qu’on reçoive des demandes de gens qui ne nous disent rien. Plutôt que de refuser (ou d’accepter) la demande sans savoir de qui il s’agit, je conseille d’écrire à la personne pour engager le dialogue. Souvent, il y a une raison pour laquelle cet individu veut vous approcher. Vous pourriez découvrir de belles opportunités.

2)   Proposer de la valeur aux gens qui nous suivent

Ça veut dire quoi être actif sur LinkedIn? D’abord de partager de l’information. Vous pouvez publier des messages ou même rédiger des articles. Quand je parle de rédiger des articles, c’est une fonction relativement récente en français qui permet, à toute fin pratique, d’avoir un mini-blogue directement sur LinkedIn. Tous vos contacts reçoivent une notification lorsque vous publiez un nouvel article. Des gens qui ne font pas partie de vos contacts peuvent aussi s’abonner à vos publications.

Une stratégie basée sur le contenu est payante à long terme. Cela permet d’asseoir votre crédibilité et de démontrez que vous êtes un expert dans votre domaine.

3)   Être actif et généreux

Au-delà de la création de contenu, ce qui est important, c’est d’interagir. Partagez les messages de vos contacts, commentez les discussions et donnez des suggestions quand les gens font des demandes.

Cette activité vous donnera de la visibilité, mais surtout, mettra en valeur votre professionnalisme.

Vous pouvez aussi faire des recommandations (et en demander). Les gens se fient beaucoup à l’avis des autres. Si vos compétences sont recommandées par plusieurs personnes et si vous avez des témoignages de clients satisfaits, cela va inspirer confiance.

4)   Allez voir régulièrement qui a consulté votre profil

La section « Vues de votre profil » est un outil précieux. On y accède en cliquant sur « Vues de votre profil » sous votre nom à la gauche de la page d’accueil. Souvent, c’est une bonne façon d’entrer en relation avec ces personnes. S’ils ont visité notre profil, il y a souvent une raison à cela. Pourquoi ne pas la demander. Vous seriez surpris des résultats.

5)   Participer à des groupes

Les groupes sont souvent ce qui se rapproche le plus d’une activité de réseautage traditionnelle. C’est une bonne façon de nouer de nouveaux liens et de démontrer votre expertise. Il faut toutefois trouver les groupes qui vous conviennent.

Première étape : Dans le haut de l’écran, vous avez un icône appelé « Plus ». Dans les autres produits LinkedIn, vous devez appuyez sur « Groupes ». Alors, une nouvelle page va s’ouvrir.

Deuxième étape : Dans la nouvelle page, vous verrez vos groupes actuels. À la droite de l’écran, il y a un lien « Découvrir des groupes ». En appuyant dessus, vous verrez différentes suggestions.

Option : Vous pouvez aussi faire une recherche par mot clé dans l’outil de recherche de la page d’accueil.

Lancer votre groupe : Enfin, si vous êtes intéressés à faire la gestion d’un groupe, vous pouvez en lancer un. Pour se faire, il suffit de reproduire la première étape, ce qui vous ramènera dans la nouvelle page « Groupe ». Dans le menu du haut, appuyez sur « Mes groupes ». Vous aurez alors l’option « Créer un groupe ».

 

Cela demande du temps de gestion, mais ça peut être pertinent s’il n’y a pas de groupe existant dans votre domaine et si vous pensez pouvoir recruter rapidement quelques contacts pour faire vivre le groupe.

6)   Cibler des interlocuteurs

Vous cherchez des contacts dans un domaine précis? Des clients potentiels, des partenaires, de futurs employés? Pourquoi ne pas les approcher directement? Bien sûr, vous devez le faire avec un message personnalisé qui explique pourquoi vous voulez entrer en contact avec eux.

Comment trouver ces gens? Par les recherches avancées.

Quand on appuie sur l’outil de recherche de la page d’accueil, on voit le résultat de nos dernières recherches. Dans le bas de la liste, on a l’option de faire une recherche avec des filtres (Search for people with filters, eh oui LinkedIn n’est pas toujours parfaitement traduit en français).

Et là, une foule de possibilités s’offrent à vous. Vous pouvez chercher selon différents filtres : région, secteur d’activité, langue, etc.  Bien sûr, il y a plus d’options en mode premium. Mais même avec les vecteurs de base, vous en avez assez pour vous amuser. Ça vaut particulièrement la peine de regarder les membres du réseau de 2e niveau. Ce sont des gens qui ne sont pas directement dans votre réseau, mais qui sont en lien avec des gens que vous connaissez. Cela vous donne une porte d’entrée… Vous pouvez même demander à votre contact de vous mettre en relation.

Donnez et vous recevrez

Peu importe la stratégie que vous comptez employer, il importe de se souvenir que ce n’est pas une course à celui qui aura le plus de contacts. L’objectif est d’avoir un réseau de qualité et de l’entretenir. Il ne faut pas chercher à l’utiliser. En fait, il faut plutôt penser complètement l’inverse. Il faut voir comment on peut être utile aux membres de notre réseau LinkedIn. La générosité va finir par être payante pour vous à long terme.