relations de presse

L’idée de se passer des médias peut être tentante. Imaginez : des relations de presse… sans les contraintes de la presse. En effet, avec les technologies actuelles, on peut devenir son propre média. Personnellement, j’ai toujours vu mon blogue, mon infolettre et mes médias sociaux comme autant de magazines dont je contrôlerais complètement le contenu.

Les avantages

  • On peut rejoindre directement son public, sans avoir à passer par les médias
  • On contrôle le message
  • Cela nous offre un contenu de qualité pour nourrir notre stratégie de contenu
  • C’est possible de mesurer l’impact du message grâce aux statistiques
  • Il y a moins de contraintes : aucune date de tombée, pas de limite d’espace
  • On peut user d’une approche multimédia (image, audio, vidéo, texte, etc.)
  • Cela laisse des traces sur le Web et les gens peuvent retomber sur ce communiqué plus tard, surtout s’il est bien référencé
  • Cela favorise le partage

Mieux encore, ça peut attirer l’attention des journalistes… eh oui, en mettant son communiqué en ligne, cela peut attirer l’attention d’un journaliste dans sa phase de recherche.

Utiliser les médias sociaux pour booster son événement

Organiser une conférence de presse et générer du contenu, cela demande du temps et de l’énergie. Tant qu’à mettre cet effort, aussi bien en profiter pour aller chercher le plus grand rayonnement possible. Heureusement, avec les médias sociaux, il est possible d’optimiser sa présence. Le truc de base, c’est de partager les articles que vont écrire les journalistes présents. Après tout, c’est un contenu de qualité et crédible (ce n’est pas vous qui l’avez écrit, mais tel média). Toutefois, il y a d’autres moyens d’être actif.

  • Créer un buzz avant l’événement

Commencé à annoncer une semaine ou deux à l’avance qu’il y aura une grande annonce. Ne vendez pas les punchs, mais donnez l’eau à la bouche pour créer une attente. Attention toutefois aux attentes démesurées. Si c’est une petite nouvelle, ne soyez pas trop mystérieux. On peut donner quelques bribes d’informations ou poser les questions auxquelles nous donnerons les réponses. Par exemple : la conférence sert à partager les résultats d’une étude sur la pauvreté à Québec. On pourrait poser une question par jour pendant une semaine et dire que la réponse va suivre après la conférence du 7 décembre.

On peut aussi (doit si on utilise cette méthode) annoncer à l’avance la diffusion sur Facebook live (nous y reviendrons).

  • Réagir en direct sur les médias sociaux

Vous pouvez publier en direct des photos et des extraits d’information sur Twitter et Facebook pendant l’événement. Vous pouvez préparer ses extraits à l’avance à partir des textes de vos conférenciers. Ne reste qu’à prendre les photos.

  • Diffuser la conférence sur Facebook Live (ou sur YouTube)

Voir plus d’informations sur Facebook Live ici.

Le meilleur des deux mondes

Par contre, l’idéal, c’est de faire les deux. Parce que les médias ne sont pas inutiles, loin de là, je ne vous conseille pas de délaisser les relations de presse. Les journalistes viennent apposer un sceau de crédibilité à votre sujet. En effet, même dans l’optique de la stratégie de contenu, diffuser un article publié dans un journal va paraître plus sérieux que de diffuser un communiqué avec la même information. D’ailleurs, je vous conseille de partager les articles sur vos réseaux le plus possible afin d’augmenter l’impact de vos relations de presse! Et, n’oubliez pas, les médias touchent un large public qui va bien au-delà de votre réseau.

Affiliation

Le marketing d’affiliation est plutôt simple. C’est de créer une chaîne de vente. D’un côté, il y a l’entreprise A qui offre à différents partenaires, dont l’entreprise B, de vendre ses produits. Chaque fois que quelqu’un va procéder à un achat avec le lien d’affiliation de l’entreprise B, celle-ci va recevoir une commission sur la vente. Pour l’entreprise A, cela permet de gagner en visibilité en profitant du réseau de tous les affiliés qui, si la rétribution est intéressante, risque de mettre de l’effort pour faire la promotion des produits. Bref, tout le monde est gagnant avec cette approche de partenariat commercial.

Être affilié

La source de revenu la plus simple est d’être affilié. L’intérêt, par rapport à une publicité AdSense par exemple, c’est que vous choisissez les produits auxquels vous voulez être associé. Ainsi, vous faites la promotion de services ou produits auxquels vous croyez vraiment.

La plupart des grands sites (comme Amazon) offrent une commission aux gens qui génèrent des ventes en envoyant du trafic. On voit souvent les opportunités dans le bas de la page (le footer) sous la rubrique « Affiliation » ou « Partner Program ».

Affiliation

Une fois inscrit, vous allez recevoir un lien que vous pourrez intégrer sur votre site, partager sur vos médias sociaux ou encore par courriel. Vous pouvez même mettre des bannières sur votre site comme si c’était une publicité payante. En fait, la méthode importe peu, l’important, c’est le résultat. Après tout, plus il y a de vente, plus c’est payant pour VOUS. Chaque fois que quelqu’un clique sur ce lien, le système reconnaît qu’elle vient par votre réseau. S’il achète, vous recevrez le montant de la commission.
Bien sûr, plus le produit est cher, plus le montant risque d’être intéressant. Certains sites se sont spécialisés dans la critique de produit. En gros, on écrit un billet de blogue pour parler d’un produit. Cette page est optimisée pour le référencement puisque le mot clé revient souvent. Et, à l’intérieur, il y a un lien d’affiliation pour vendre le produit.

Bien sûr, contrairement à AdSense qui va placer des publicités dans toutes les pages, il n’y a des possibilités de générer des revenus par affiliation que dans les pages où il y a effectivement des liens.

Lancer un programme d’affiliation

Mettre en place un programme d’affiliation peut être intéressant lorsque l’on a une boutique en ligne ou, au minimum, un produit ou un service à vendre en ligne. Si on ne remplit pas cette condition, c’est inutile de se lancer de ce côté. Pour augmenter ses revenus, il est préférable de choisir d’être affilié. Pour ceux qui lancent une nouvelle boutique en ligne ou un nouveau produit, c’est le moment parfait pour se lancer dans l’affiliation. Imaginez, vous pouvez pourriez avoir une dizaine de représentants en ligne… sans avoir à avancer un sou. En effet, ils ne sont payés que sur les transactions. Mais, entre-temps, vous profitez de leur réseau.

On n’improvise pas une stratégie d’affiliation. Il faut bien connaître ses frais et sa marge de profit. Une rétribution trop généreuse peut faire en sorte que le produit est vendu à perte. Une rétribution trop chiche n’attirera pas les affiliés potentiels. Une bonne idée est de voir ce que vos concurrents (ou, à tout le moins, les grands joueurs de votre domaine) font. Une bonne idée est de prévoir un système évolutif qui récompense vos meilleurs affiliés (par exemple : le taux de base est un retour de 10%, mais les meilleurs peuvent aller jusqu’à 15 ou 20%). Il faut aussi voir en quoi vous vous démarquez des autres programmes. Après tout, les affiliés potentiels voient ce qui se passe chez les différents joueurs et vont souvent magasiner les meilleures opportunités. D’ailleurs, il est difficile de les fidéliser.

Les avantages des programmes d’affiliation

Gestion facile. Le système est automatisé. Tout est calculé en ligne, le paiement se fait automatiquement. Il n’y a donc pas vraiment de main d’œuvre ou de gestion.

Aucun risque financier. Comme les paiements se calculent sous forme de commission, il n’y a pas de risque réel. Dans le pire des cas, il n’y a pas de vente et personne ne touche un sou.

Accessibilité. Pour le marchand, il y a plusieurs réseaux d’affiliations établis auxquels on peut s’abonner. En gros, on a accès à une équipe de vente sans avoir à payer qui que ce soit.

Profiter du réseau des autres. Par le programme d’affiliation, vous pouvez faire connaître votre produit à travers le réseau des différents affiliés.

automatisation

Le désavantage de l’infolettre classique, c’est qu’on doit toujours créé de nouveaux contenus et que le nouvel abonné entre en quelque sorte au milieu de la conversation. Tous les contenus créés dans les premières infolettres sont perdues. Bien sûr, on peut les réutiliser ou les adapter, mais quand même, c’est dommage de les perdre pour rien. D’où l’intérêt de l’automatisation.

Avec l’automatisation, on peut créer une séquence de courriels. Cette séquence peut être lancée par différents « triggers » ou déclencheurs en bon français. Par exemple, si quelqu’un télécharge votre livre numérique sur les différentes sortes de placement, vous pourriez lui envoyer une séquence de courriels pour vendre vos services de planificateur financier. C’est différent de l’infolettre qui est un envoi massif du même contenu à plusieurs personnes en même temps. Ici, on envoie le contenu individuellement. Au final, plusieurs personnes vont recevoir le même contenu, mais pas au même moment.

La beauté de la chose, c’est qu’il est possible de créer différentes séquences selon différents déclencheurs. Par exemple, si un déclencheur est près de l’action d’achat (par exemple un bouton pour dire que le client est intéressé par une formation), on peut se permettre d’être plus agressif, car il s’agit d’un lead sérieux. Pour une autre action plus éloignée de l’action d’achat, on opterait pour une autre approche.

Pourquoi intégrer l’automatisation?

Presque tous les services de gestion d’envoi de courriels offrent maintenant le service d’automatisation. Même que sur Mailchimp, cette option est maintenant gratuite (alors que c’était payant jusqu’au printemps 2017). Cela dit, il y a des outils plus puissants et plus précis. Par contre, l’avantage de Mailchimp, c’est qu’il offre plusieurs modèles faciles à mettre en place. Pour un débutant, c’est l’idéal. Surtout si vous gérez déjà votre infolettre avec cet outil.

Le grand avantage de l’automatisation, c’est qu’une fois que les outils sont mis en place, cela demande très peu de travail, car tout se fait de façon automatique. On entraîne le client dans un tunnel de vente. Si jamais les résultats ne sont pas intéressants, il est toujours possible d’apporter des ajustements. Mais si cela fonctionne bien, cela devient presque un revenu passif.

L’autre avantage de l’automatisation, c’est que cela permet de sauver du temps lorsque l’on doit fournir la même information. Par exemple, si vous offrez une formation, il y a de fortes chances que la plupart des gens intéressés aient des questions similaires. Plutôt que de répondre à chacun, une série de courriels bien pensée peut permettre de donner ses réponses tout en augmentant le taux de conversion (le nombre de personnes qui choisissent de s’inscrire).

Différents types de déclencheurs

automatisation - declencheurConcrètement, il y a plusieurs déclencheurs possibles pour lancer la séquence d’automatisation. Le plus classique, c’est lorsque le client rempli un formulaire (par exemple pour recevoir un cadeau ou un code pour obtenir un rabais).

En gros, le client rempli le formulaire pour demander son bonus. Dans le formulaire, il doit entrer son courriel qui entre dans la banque de donnée de l’automatisation. Il va recevoir son livre numérique ou son code de promotion par courriel, puis la séquence va s’enclencher automatiquement un jour (ou deux, ou trois, selon votre désir) plus tard. Par exemple, vous pourriez lui demander, dans un premier temps, s’il a des questions. Ensuite, vous pourriez lui parler de votre promotion en lien avec ça. Pour une idée plus complète d’une séquence, voir le prochain chapitre.

Cela peut aussi être lié à une date (à chaque anniversaire une séquence est enclenchée ou encore lorsque cela fait un an qu’il est dans la base de donnée ou tout autre moment pertinent pour vous).

On peut créer une séquence pour les gens qui ont abandonné leur panier, pour ceux qui viennent de compléter leur premier achat, pour quelqu’un qui vient d’acheter un produit spécifique, pour quelqu’un qui n’a pas acheté depuis longtemps ou, au contraire, pour vos meilleurs clients. Les possibilités sont multiples.

À l’intérieur d’une séquence, il est même possible de créer des sous-séquences en fonction des actions des prospects. Par exemple, s’il ne s’inscrit pas à une formation, il pourrait recevoir une nouvelle série de courriels. Attention toutefois de ne pas en abuser. Cela peut s’apparenté à des pourriels et donner une très mauvaise image de votre entreprise.

sociofinancement

Qu’est-ce que le sociofinancement?

Sociofinancement, financement collectif, financement participatif, crowfunding… peu importe le terme employé cela ramène à la même réalité. Il y a deux grands concepts : d’une part, le financement et de l’autre, le côté participatif.

En gros, on lance un appel à la communauté afin que les gens intéressés participent financièrement à la réalisation d’un projet. Donc, au lieu de passer par les institutions bancaires pour aller chercher les fonds nécessaires au lancement d’une entreprise ou d’un projet. C’est aussi utilisé dans le modèle communautaire et même pour des athlètes qui ont besoin d’amasser des fonds pour réaliser leurs objectifs.

En ce moment, le concept est plus populaire que jamais. On a tous entendu parler d’histoire à succès. Oui, le financement participatif est une bonne façon d’aller chercher l’argent nécessaire au lancement d’un projet. Toutefois, ce n’est pas magique et ce ne sont pas tous les projets qui parviennent à atteindre leur objectif.

Les personnes-clés d’une campagne

  • Le porteur de projet : celui qui lance le projet et qui doit amasser les fonds nécessaires à sa réalisation.
  • Le contributeur: l’investisseur en quelques sortes. En échange de sa participation financière, il reçoit une contrepartie déterminée par la valeur de son engagement financier.

Qu’est-ce qu’un bon projet?

Ce n’est pas parce que vous avez lancé une campagne que les clients potentiels vont arriver en masse et vous inonder d’argent. Il y a bien sûr de bonnes pratiques (nous y reviendrons), mais il y a surtout des types de projets qui vont soulever davantage d’adhésion que d’autres.

On a tendance à croire qu’un bon projet est un projet d’envergure. Ce n’est pas vrai du tout. En fait, pour obtenir du succès, le projet doit susciter l’engagement. Et pour cela, il faut que le projet réponde aux besoins du public et soulève son adhésion.

Il faut d’abord être sûr que le projet est suffisamment mature. Lancer un projet trop tôt, alors que le concept n’est pas assez bien défini est la meilleure façon de se casser la gueule.

  • Il faut que le projet soit clair. Comme cela vous pouvez l’expliquer aux clients potentiels et bien leur vendre ses particularités. N’oubliez pas que le sociofinancement est autant une activité de financement que de communication. C’est souvent votre premier contact avec votre public potentiel… et vous n’avez qu’une chance de faire bonne impression.
  • Il faut que le projet soit précis. Les gens ne veulent pas investir dans une campagne de financement global. Ils veulent s’engager pour un nouveau produit ou un événement et non pour ce que vous faites déjà.

4 avantages financiers du sociofinancement

Oui, on fait une campagne de sociofinancement pour amasser des fonds. Par contre, ce type de campagne a beaucoup d’avantages collatéraux qu’on aurait tord de sous-estimer.

  • C’est plus simple que de faire une demande de financement classique. Comme mentionné plus tôt, l’un n’empêche pas l’autre. Il est toujours bon d’avoir différentes sources de financement. Si on choisit d’aller vers le sociofinancement plutôt qu’une demande de subvention ou une demande de prêt, cela implique moins de paperasses (formulaire, rapport, étude de marché, prévision financière, etc.). De plus, il est souvent difficile (voire impossible) d’obtenir du financement si vous n’avez pas encore de ventes ou d’actifs. Par contre, cela ne dispense pas de rédaction pour autant. Il faut prévoir plusieurs textes, images et vidéos pour bien vendre le projet.
  • Accès à un financement rapide. Sitôt la campagne terminée, vous avez accès à votre financement (une fois que la plateforme a prélevé son pourcentage), ce qui vous permet de lancer le projet immédiatement. De plus, il ne s’agit pas d’un prêt, donc il n’y a pas de frais d’intérêt comme avec d’autres sources de financement.
  • Cela donne de la crédibilité au projet. Si vous optez pour un financement mixte, l’argent amassé lors de la campagne de sociofinancement peut servir de levier pour convaincre les investisseurs du sérieux et de l’intérêt de votre projet. En effet, c’est toujours plus facile d’obtenir de l’argent quand on en a déjà!
  • Cela permet aussi d’aller chercher une contribution financière avant que le projet soit lancé ou complètement réalisé.

3 avantages non-financiers du sociofinancement

  • Cela permet de se construire une banque de client. En effet, au-delà du soutien financier, les contributeurs vous donnent aussi leurs coordonnées. Vous avez donc une liste d’individus qui s’intéressent à votre domaine qui pourra être ajouté à votre infolettre ou votre liste de clients.
  • Cela permet de faire la promotion de votre entreprise. En effet, lors d’une campagne de financement, on produit beaucoup de contenu qui circule dans différents milieux. Cela fait parler de l’entreprise et assure son rayonnement.
  • Cela permet de diminuer le nombre d’intermédiaires entre l’entreprise et le client tout en validant l’intérêt du public pour le nouveau produit/service. En fait, c’est presque une étude de marché en soi. Bon, ce n’est pas une étude exhaustive, mais cela permet au moins de s’assurer qu’il y a un intérêt pour son produit/service et ça, ça n’a pas de prix.

Deux limites au sociofinancement

Par contre, tel que mentionné plus tôt, il n’y a rien de magique. Si c’était le modèle parfait et facile, tout le monde le ferait.

  • Il y a un risque que l’objectif ne soit pas atteint. Cela peut entraîner un sentiment d’échec et même amener une remise en question du projet. Ce n’est pas une situation amusante, mais cela fait partie des risques de ce mode de financement. Par contre, si on y pense bien, c’est la même chose avec toutes les formes de financement. Si je vais devant une institution avec mon plan d’affaires, je n’ai aucune garantie que je vais obtenir du financement.
  • Plus votre réseau est petit, moins les résultats seront grands. Ce n’est pas toujours vrai. Il arrive qu’un projet obscur gagne en popularité à cause d’un influenceur qui le découvre par hasard. Mais, règle générale, c’est votre réseau qui va permettre le rayonnement de votre projet. S’il est petit, vous ne pouvez voir trop grand. Par contre, d’une campagne à l’autre, votre réseau devrait grandir et les résultats devraient suivre.

Deux autres éléments dont il faut tenir compte

  • La méfiance : La pratique est encore récente. Plusieurs personnes ne sont pas à l’aise de faire un paiement électronique. Il y a des questions, des doutes. C’est votre responsabilité de bien expliquer les règles du jeu et d’offrir des moyens de paiements alternatifs. Par exemple, vous pourriez participer à un événement et prendre les paiements sur place. Accepter les paiements par chèque par la poste, voire même par carte de crédit. À vous d’être le plus accommodant possible.
  • Un succès peut se transformer en échec si on ne prévoit pas bien ses coûts (que ce soit les coûts de création de produit ou les coûts d’achat et d’envoi des différentes contreparties). Il faut aussi tenir compte des dépenses publicitaires, des frais de transaction et des frais liés à la plateforme. Si nos calculs ne sont pas bons au départ, on peut se retrouver avec un produit populaire… mais qui sera développé à perte.