Je parlais la semaine dernière des notions de SEO et de SEM. Quand il est question de Marketing des moteurs de recherche (SEO), la première image qui nous vient en tête c’est Google AdWords. À en croire certains, ce serait la méthode révolutionnaire pour faire ses communications en ligne. Personnellement, je suis moins enthousiaste. C’est un outil qui peut être très efficace… s’il est bien utilisé et adapté à son marché. Sinon, c’est la meilleure façon de mettre 100 $ (ou 1000 $) dans le feu.

Cela dit, même si Google AdWords est adapté à votre marché (par exemple, parce que votre clientèle cible à tendance à faire de la recherche en ligne et que vos mots-clés ne sont pas hors de prix), ce n’est ni facile, ni magique. Voici 10 clés pour réussir sur Google AdWords. Il y a en a bien sûr plusieurs autres. Toutefois, l’objectif de ce texte est de mettre en place des bases pour que votre campagne fonctionne.

Première clé AdWords : Définir son objectif

La base de toute campagne est de bien cibler votre clientèle. Ensuite, on peut déterminer la meilleure façon de la rejoindre. Pour le besoin de l’exercice, disons que cette étude vous a permis de déterminer que le canal à privilégier est une campagne AdWords. Il faut alors établir votre stratégie. La première clé d’une campagne AdWords réussie est de définir son objectif. Toute la stratégie sera basée sur cet objectif. Pour un même public, les actions posées ne sont pas les mêmes selon l’objectif poursuivi. Si l’objectif est, par exemple, d’augmenter le nombre d’abonnés à votre infolettre ou encore d’amener plus de trafic sur votre site, vous n’aurez pas les mêmes stratégies que si vous voulez recruter des prospects ciblés.

Deuxième clé AdWords : Bien cibler ses mots-clés

Le réflexe premier lorsqu’on met en branle une campagne AdWords est d’enchérir uniquement sur les mots-clés qui nous semblent logiques. Il faut pousser sa réflexion plus loin… et utiliser les outils qui sont offerts. En effet, les générateurs de mots-clés de Google peuvent vous faire sauver du temps. Une bonne pratique est de mettre des mots-clés avec des verbes d’action comme « Acheter ».

Un autre défaut courant est d’y aller avec des mots-clés trop courts (un, deux, parfois trois mots). Je comprends que l’idée est de vouloir ratisser le plus large possible. Par contre, l’objectif est d’atteindre des acheteurs potentiels, alors il vaut mieux être précis. Personne n’a envie de payer pour des curieux.

Troisième clé AdWords : Ajouter de mots-clés négatifs

Dans le même ordre d’idées, il faut parfois mettre des mots-clés négatifs. Ce sont des mots qui permettent d’éliminer notre annonce de certains résultats de recherche. Par exemple, pour un restaurant haut de gamme (avec les prix qui vont avec), on peut éliminer les recherches qui contiennent des termes qui démontrent que l’internaute est à la recherche d’une aubaine. L’objectif est d’épargner de l’argent en ne dépensant pas pour des clics inutiles. Les mots-clés négatifs ne sont pas toujours faciles à déterminer. L’idéal est de faire un suivi pendant la campagne en regardant quelles expressions ont été utilisées pour tomber sur votre annonce. Ensuite, vous enregistrez comme mots-clés négatifs les termes qui ne reflètent pas votre produit ou service.

Quatrième clé AdWords : Éviter d’être radin sur le prix des mots-clés

Un autre réflexe naturel est de vouloir payer le moins cher possible pour ses mots-clés au lancement de sa campagne AdWords. Seulement, cela va nuire à l’activation et au positionnement de vos annonces. Il est donc préférable de mettre un CPC (coût par clic) plus élevé au début d’une campagne. Lorsque l’ensemble des mots clés sera activé, vous pourrez diminuer votre CPC.

Cinquième clé AdWords : Avoir plusieurs versions de ses annonces

L’erreur la plus courante dans les campagnes AdWords, c’est de mettre tous ses mots-clés dans la même campagne. Pire encore, certains utilisent une seule publicité dans ladite campagne.

Pour qu’une annonce soit efficace, les mots-clés doivent apparaître dans le texte des annonces. Et, pour ce faire, il faut des annonces conçues expressément pour les différents mots-clés (ou groupe de mots). Cela permet d’offrir une annonce qui répond à l’offre de service et au champ d’intérêt du client potentiel. On peut aussi déterminer quelles sont les annonces les plus efficaces.

Il est aussi recommandé de faire des tests A/B (avec plusieurs versions d’une même publicité) lors de la création d’une campagne AdWords. Cela permet d’affiner ses méthodes pour trouver les solutions les plus efficaces pour joindre sa clientèle. En gros, cela veut dire qu’il faut, pour chaque mot-clé ou groupe de mots-clés, créer plusieurs annonces affichées en rotation. Chacune de ses annonces sera une variation sur le même thème afin d’isoler les éléments les plus efficaces. Avec un suivi serré, on peut éliminer les formules perdantes pour conserver les modèles les plus performants.

 

À suivre mardi prochain avec l’article : AdWords : cinq autres clés pour réussir

Je ne suis pas graphiste, ni monteur vidéo. Toutefois, il m’arrive de devoir toucher à l’un ou à l’autre de ses domaines dans le cadre de certains mandats. Quand je suis au bureau, je dispose de certains logiciels pour effectuer ses tâches, mais, parfois, je dois les faire directement chez le client. J’ai donc découvert certains outils gratuits pour effectuer le travail.

Découpeur Vidéo Online

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Une fois, j’ai du faire un peu de montage vidéo pour une cliente avant de diffuser sa vidéo sur Youtube. La plupart des tâches demandées pouvaient s’effectuer sur Windows Movie Maker. Par contre, la cliente voulait aussi que je recadre l’image, ce que ne me permettait pas le logiciel de Windows. Comme je ne compte pas développer ce marché, je ne souhaitais pas investir dans un logiciel professionnel. J’ai donc cherché des outils gratuits en ligne. J’ai trouvé des logiciels qui faisaient parfaitement le travail… seulement la version gratuite ne me permettait de récupérer que 20 % de la vidéo. Pas très pratique. Dans ma quête d’outils gratuits, j’ai essayé plein de formules, sans succès. Jusqu’à ce que je trouve le Découpeur Vidéo Online. Facile d’utilisation, cet outil gratuit est efficace. Seule contrainte : la vidéo doit être légère (moins de 500 MB).

Pixabay

pixabayQue ce soit pour accompagner une publication sur Facebook, pour enjoliver notre site Internet ou pour illustrer un article de blogue, on est toujours à la recherche de photos. Il y a de nombreuses banques d’images en ligne, mais très peu offrent de la qualité… tout en étant gratuites. Personnellement, de tous les outils gratuits dans ce domaine, Pixabay est mon site de référence. On y trouve de nombreuses images de qualité et les politiques d’utilisation ne sont pas contraignantes.

Pixrl Editor

pixlrQuand vient le temps de faire du montage photo, je travaille toujours avec Photoshop. Par contre, ce ne sont pas tous les gens qui ont accès à ce logiciel assez coûteux. J’ai donc essayé différents outils gratuits pour effectuer des retouches photos. Jusqu’à maintenant, ce que j’ai trouvé de plus efficace est Pixrl Editor. Non, ça ne remplace pas Photoshop, mais pour les besoins du commun des mortels, c’est plus que suffisant. On peut recadrer, redimensionner, découper, faire pivoter une photo, modifier ses couleurs ou sa luminosité, appliquer des effets, etc. C’est un outil convivial et efficace. Chaudement recommandé.

 

Aujourd’hui, je ne parlerai pas de communication, du moins pas directement. Je me suis associé à MCQ pour faire la promotion de l’activité. Ce rassemblement familial va avoir lieu à Sainte-Marie le 7 août. Je me permets donc de partager avec vous le communiqué de presse de l’événement. À noter que tous les organisateurs et partenaires offrent leur temps et leur expertise gratuitement afin que les fonds amassés reviennent à ceux qui en ont besoin.

Marcher et courir… pour faire vivre l’espoir

SAINTE-MARIE, le 20 juillet 2016 – Le dimanche 7 août 2016 dès 8 heures, petits et grands sont attendus dans le stationnement du BMR Unicoop de Sainte-Marie situé au 1360 boulevard Vachon Nord. En effet, ce sera le point de rassemblement d’une activité de course et de marche organisée par Marcheurs et coureurs du Québec (MCQ) pour amasser des fonds pour Raphaël Plante et sa famille.

Linda Duval a lancé Marcheurs et coureurs du Québec le 21 juin 2015. Ce groupe compte près de 6200 membres sur Facebook. « Mon objectif était d’inciter les gens à partager leur passion commune et d’aider les autres à découvrir la marche et la course », soutient Mme Duval. Le tout, en mettant de l’avant l’importance d’adopter de saines habitudes de vie.

Elle-même survivante du cancer, la présidente du groupe cherchait une façon d’apporter sa contribution dans la lutte contre cette maladie. Elle a donc eu l’idée d’amasser des fonds pour aider chaque année un enfant malade et sa famille. En plus de l’activité de marche et de course prévue le 7 août, des fonds vont aussi provenir de la vente de la collection de vêtements de MCQ.

Raphaël Plante : un choix tombé du ciel

Au moment de planifier sa première campagne de financement, Linda Duval a lancé un appel à tous pour trouver l’enfant qui sera aidé. « J’ai reçu quelques réponses, mais je ne trouvais pas le profil que je recherchais. Puis, un jour, je vois une dame à mon travail. Je pouvais voir qu’elle était une survivante, alors je suis allé lui parler. À la fin de la discussion, je lui ai demandé si elle connaissait un garçon qui pourrait avoir besoin d’aide. Elle s’est tout de suite mise à pleurer. C’était la grand-tante de Raphaël Plante. Quand elle m’a raconté son histoire, j’ai su qu’on avait trouvé la bonne personne. »

Le jeune Raphaël Plante est âgé de quatre ans. Il combat le cancer depuis près de la moitié de sa vie. Il a d’abord eu une tumeur cancéreuse au rein. Puis, après l’opération et de nombreux traitements de chimiothérapie, il a été attaqué à la boîte crânienne. Malgré tout, ce petit champion fait preuve d’un courage incroyable.

Une grande fête pour célébrer la vie

Le 7 août, il y aura une ambiance festive. Le centre Profil Action Santé de Sainte-Marie offrira un atelier de Zumba. Un D.J. sera également sur place pour faire bouger les participants avant, pendant et après la course. De plus, Rémy Cano va s’assurer que les marcheurs et coureurs sont bien préparés avant l’épreuve. En effet, il animera un réchauffement de type Bootcamp. Enfin, il y aura des hot-dogs, de l’eau et d’autres choses à boire et à manger grâce à une commandite de BMR.

Il y aura trois distances au programme : une course pour enfants de 1 km à 11 heures, ainsi que des épreuves pour coureurs et marcheurs de 5 et de 10 km à 9 h 30. Les participants sont invités à arriver plus tôt. Les frais d’inscription sont de 15 $ par adulte et de 5 $ pour les enfants de moins de 12 ans.

La course aura lieu sur la piste cyclable. Le départ sera à la hauteur de la route Cameron en direction de Scott. Le parcours sera balisé et sécurisé avec des postes d’eau pour assurer une expérience agréable aux participants. « La course ne sera pas chronométrée. Par contre, il y aura des dossards à titre de symbole. L’objectif est d’avoir du plaisir et de se dépasser et non de battre des records. »

Vous ne pouvez être présents le 7 août ? Aucun problème, vous pouvez participer de façon virtuelle. Vous faites votre don et réalisez votre propre course à l’endroit et au moment de votre choix.

Pour vous inscrire et pour obtenir un aperçu du parcours :
http://festivalcourse.com/mcq/mcq.html

Cette semaine, un client m’a demandé quelle était la différence entre le SEM et le SOM. En lui répondant, je me suis rendu compte que la réponse pourrait être utile à d’autres personnes. Alors, je vais vous la partager.

Le SEM veut dire Search Engine Marketing. En français, on pourrait traduire par Marketing des moteurs de recherche. Le SEO est l’acronyme de Search Engine Optimisation (ou optimisation pour les moteurs de recherches). Il s’agit de deux stratégies de référencement différentes, mais complémentaires.

Le SEO relève surtout du contenu et du développement du site proprement dit. En fait, ce sont toutes les stratégies qui sont mises en oeuvre pour améliorer ses performances sur les moteurs de recherche. Il n’y a pas de frais directs associés (sinon le temps qu’on y met ou que l’on paie quelqu’un pour assurer l’optimisation).

De son côté, le SEM réfère aux stratégies payantes pour augmenter son trafic et son taux de conversions. En gros, c’est là qu’on retrouve les nombreux moyens publicitaires en ligne. C’est dans cette catégorie qu’entre les campagnes Google AdWords ou le SMM (Social Media Marketing) qui viennent en quelque sorte booster votre référencement.

SEM vs SEO

L’objectif du SEO est d’optimiser le contenu de votre site Web pour qu’il sorte dans les premiers résultats des moteurs de recherche lorsque quelqu’un tape les mots-clés propres à votre domaine d’activité. Le mode de fonctionnement du SEM est différent. On fonctionne avec un système d’enchère. On peut acheter des mots clés pour obtenir de la visibilité lorsqu’un internaute qui répond au profil qu’on a ciblé lance une requête avec ces mots-clés. Sur les médias sociaux, on fonctionne aussi avec un mode d’enchère, mais là, on cible une clientèle cible selon quelques caractéristiques. Il y a plusieurs possibilités de paiements (selon le nombre d’affichage, selon le nombre de clics ou, le plus intéressant à mon avis, lorsque certaines actions sont posées).

L’autre grosse différence, c’est que le SEO est un travail de fond sur le site Internet. Il faut apporter des modifications aux textes, mais aussi à la structure du site. Il faut que la programmation soit pensée pour optimiser le référencement. À l’inverse, le SEM se fait à l’extérieur du site proprement dit. En une heure, on peut avoir une campagne Google AdWords ou sur les différents médias sociaux. Cela dit, idéalement, il faut aussi penser à sa landing page.

Le plus grand défaut du SEM, c’est qu’il demande une vigilance importante. En effet, on s’expose aux clics frauduleux. Si payer pour des prospects n’a rien de dérangeant, personne ne veut jeter de l’argent dans le vide. Dernièrement, un ami me parlait d’un de ses clients qui a été pris pour payer quelques centaines de dollars sans résultat. En effet, un concurrent a développé un bot pour cliquer sur son lien toutes les heures. Cela dit, si la personne responsable de sa campagne AdWords avait fait un bon suivi, il aurait repéré l’anomalie rapidement.

SEM et SEO

L’idéal est de jumeler les deux stratégies. Le SEO est un travail à long terme. Les résultats ne seront pas immédiats, mais ils seront plus durables. Ça me fait penser un peu au bouche-à-oreille. C’est efficace, mais long à mettre en place. Le SEM apporte des résultats tangibles à court terme, mais est beaucoup plus dispendieux. L’idéal est de s’en servir comme d’un levier pour augmenter la visibilité de son site et ainsi accélérer le processus du bouche-à-oreille.

GuanXi vient d’être lancé dans la région de Québec. Il s’agit d’un tout nouveau média social qui occupe une niche entre Facebook et LinkedIn. Son fondateur, Stéphane Bélanger, s’intéresse depuis longtemps aux stratégies pour que les entreprises se fassent connaître et développent leur clientèle.

Partant du fait que beaucoup de nouvelles entreprises se fient presque uniquement sur leur bouche-à-oreille pour bâtir leur clientèle et que ça prend généralement entre trois à cinq ans pour atteindre un nombre de clients satisfaisant, Stéphane Bélanger s’est demandé comment accélérer les choses… Et il s’est donné comme défi de réduire ce délai d’au minimum de moitié! Au terme de sa réflexion est né le concept de GuanXi.

Issu d’une famille d’entrepreneurs, Stéphane Bélanger a étudié en administration. « Au début de la vingtaine, mon objectif était de m’ouvrir un bar avec un ami. » Le projet ne s’est pas concrétisé. Par contre, le rêve de lancer une entreprise ne l’a jamais quitté. « J’ai travaillé une douzaine d’années en gestion de projet. J’ai touché au développement de partenariats. J’ai appris à engager les bonnes personnes. Et j’ai travaillé sur la notoriété des entreprises. C’est là que j’ai commencé à développer des stratégies marketing non conventionnelles pour faire connaître les projets et les entreprises pour lesquelles j’étais mandaté. »

L’origine de l’idée

Stéphane Bélanger compte établir GuanXi dans le marché de Québec et de la Côte-de-Beaupré avant de développer d'autres régions du Québec... puis du reste du monde.

Stéphane Bélanger compte établir GuanXi dans le marché de Québec et de la Côte-de-Beaupré avant de développer d’autres régions du Québec… puis du reste du monde.

À la base du projet GuanXi, il y a un constat. « J’accompagnais de jeunes artistes en démarrage d’entreprise et je me demandais comment les aider à développer leur clientèle. Il y a le marketing direct qui peut être efficace. Mais ça demande des investissements en argent qui peuvent devenir importants. Il y a aussi le bouche-à-oreille traditionnel qui est très efficace. Sauf que ça demande beaucoup de temps avant de bénéficier des retombées. J’ai alors réalisé que la meilleure façon d’accélérer le processus était de jouer sur les variables. Par exemple, sur le quand, le comment et le à qui. Habituellement, avec le bouche-à-oreille, on n’a pas d’impact sur ces aspects. »

Le grand point problématique est le « quand ». En effet, les gens n’ont pas tendance à faire de recommandation à part si un ami leur dit être à la recherche d’un contact. « Certains sujets sont plus propices au bouche-à-oreille comme l’esthétique ou les rénovations. Par contre, c’est plus difficile dans d’autres domaines. On va en parler un peu dans le court terme, mais après c’est fini. »

Un concept chinois

À la base, Stéphane Bélanger voulait appeler son projet « De bouche à oreille ». Seulement, il trouvait le nom un peu trop long. De plus, il préférait un mot qui pourrait être utilisé autant en français qu’en anglais. Puis, lors de lecture sur le bouche-à-oreille, il est tombé sur le concept de guanxi. Ce terme chinois veut dire « réseau ».

« En gros, le guanxi des individus revient à un concept où chaque famille en Chine développe son réseau de contacts. Il se transmet de génération en génération. Ça a été un gros wow. Ici, ça ne se fait pas. Ce n’est pas tabou, mais on n’en parle pas. On ne connaît pas les contacts de nos proches, sauf si on le leur demande. » Il y a aussi le guanxi des affaires, une approche qui veut qu’on apprenne à connaître l’autre avant de faire des affaires avec lui.

GuanXi, c’est quoi au juste?

Pour son créateur, GuanXi représente plus qu’une plateforme. « C’est du bouche-à-oreille numérique nouveau genre. » Le réseau est bâti sur les liens de confiance et la satisfaction de la clientèle des entreprises. Ainsi, la première étape est d’approcher ses clients des derniers mois pour les amener à remplir un sondage de satisfaction et à faire des commentaires. Ces évaluations vont permettre d’établir la crédibilité de l’entreprise en mettant en valeur ses avantages concurrentiels. Ainsi, les consommateurs potentiels pourront se servir de GuanXi comme d’un carnet d’entreprises par secteur. Ils pourront faire un choix éclairé en voyant quelles sont les forces de chacune des entreprises d’un même domaine.

« Dans un premier temps, je cherche à bâtir un réseau d’entreprises pour avoir une masse critique qui va me permettre d’attirer les consommateurs sur la plateforme. » Ainsi, les premières entreprises à joindre le réseau auront droit à un forfait gratuit de six mois. M. Bélanger espère avoir suffisamment de membres d’ici l’automne pour lancer une campagne de promotion du réseau auprès des consommateurs. Les premiers tests vont avoir lieu dans le secteur de Québec et de la Côte-de-Beaupré, mais le créateur de ce projet espère développer toutes les régions du Québec. Si le succès est au rendez-vous, il pourra ensuite s’attaquer à d’autres marchés internationaux.

Des adhérents impliqués

Si l’inscription est gratuite pour les premiers adhérents, il y a quand même un minimum d’investissement en temps qui est demandé pour assurer la réussite de ce réseautage virtuel. « Les entrepreneurs seront invité communiquer avec leurs clients par courriel ou par téléphone pour leur demander de remplir le sondage et de faire un témoignage. Pour ceux qui ne sont pas à l’aise d’approcher leur client, ce sera possible que je m’en occupe. Habituellement, les gens participent lorsqu’on leur demande leur avis. En France, il existe un réseau de ce type et cinq clients sur dix acceptent de répondre. Je suis convaincu qu’on peut faire encore mieux au Québec. »

Les meilleurs témoignages serviront aussi à des campagnes de promotion sur d’autres médias sociaux. À terme, M. Bélanger souhaite développer un badge qui deviendra une sorte de sceau de confiance lorsque la notoriété de GuanXi sera assez développée. Un TripAdvisor des professionnels en quelque sorte.

Pour éviter les débordements, tous les témoignages seront lus et approuvés. Les commentaires d’insatisfaction seront résumés pour cerner les points qui posent problème. Cela permettra à l’entreprise d’intervenir pour améliorer les choses ou pour mettre la situation en contexte.

Une structure différente

« Mon objectif est de m’insérer entre LinkedIn et Facebook. Sur Facebook on peut faire différentes promotions sur notre page d’entreprise. Sur LinkedIn, on peut personnaliser le message et développer des relations d’affaires. Sauf qu’aucun n’offre un moteur de recherche qui permet de trouver des entreprises selon les références de nos contacts. Si on veut un plombier, on va avoir une liste d’entreprises sur Facebook, sur Google, dans les Pages jaunes. Mais aucun élément ne permet de les différencier l’une de l’autre.

La structure de GuanXi présente les entreprises de façon différente. « La page de profil ne sera pas un résumé de la page Web. On va mettre en valeur les forces de l’entreprise avec les commentaires et les résultats des sondages auprès de la clientèle. Pour le reste, on va rediriger vers le site Internet, vers la page Facebook, vers la page LinkedIn. On veut éviter le dédoublement de l’information. » Ainsi, les consommateurs pourront faire des recherches par secteur ciblé géographiquement. En lisant les témoignages des clients, ils pourront déterminer avec qui ils ont envie de faire affaire.

Le mot de la fin

« Des statistiques disent qu’une entreprise perd jusqu’à 50 % de sa clientèle en cinq ans. D’autres études montrent que c’est plus coûteux de recruter de nouveaux clients que de fidéliser ceux que l’on a déjà. En tenant compte de ces deux facteurs, on se rend compte que cela est problématique. D’autant plus que dans 96 % des cas, on ignore pourquoi le client est parti. Dans bien des situations, c’est parce qu’on n’a pas entretenu la relation. »

Pour en savoir plus

Si vous souhaitez en savoir plus sur GuanXi ou pour bénéficier de l’offre de lancement, vous pouvez communiquer directement avec son fondateur à l’adresse suivante : sbelanger@guanxiquebec.com

On peut aussi visiter la plateforme à guanxiquebec.com.

On sous-estime souvent l’importance du sondage. Je le répète sans cesse, mais la connaissance de son public cible représente le nerf de la guerre. Que ce soit dans une campagne de communication en ligne ou ailleurs (ou même dans la réussite d’un plan d’affaires). Dernièrement, j’ai eu un client qui a noté une diminution des ventes dans son secteur d’activité. Il voulait donc lancer une campagne pour se démarquer de la concurrence. Rapidement, on a découvert qu’il n’avait jamais fait d’étude de marché au moment de lancer son entreprise. Il a une certaine idée de son public cible, mais celles-ci ne dresse pas nécessairement un bon portrait de la réalité.

Bien sûr, il y a des renseignements disponibles en ligne sur son secteur d’activité. Google et les banques de données permettent d’avoir accès à une mine d’information. Par contrem rien ne vaut un sondage direct. Pendant des années, on devait recourir à des focus groups ou des sondages téléphoniques. Des solutions intéressantes, mais relativement coûteuses et, surtout, assez longues à mettre en place. Maintenant, on a accès à des solutions en ligne qui ne coûtent rien ou presque. De plus, ces méthodes permettent une compilation des données en temps réel. L’objectif d’un sondage est d’aller chercher des renseignements qui permettront d’orienter les stratégies commerciales.

Quelques règles pour l’élaboration d’un questionnaire de sondage

On a tous vécu un sondage téléphonique interminable. Dans bien des cas, ce fut suffisant pour qu’on refuse toutes les demandes subséquentes. Il faut en tenir compte. Évitez les questions inutiles, tenez-vous-en à l’essentiel et assurez-vous que le sondage ne prend pas plus de dix minutes (dans bien des cas, pour des sondages en ligne, il est préférable de viser 5 à 7 minutes). Dans tout les cas, indiquez clairement aux répondants combien de temps prend l’exercice.

Les questions doivent être précises et, si vous avez des échelles, obligez les gens à se compromettre. Par exemple, favorisez quatre choix (exemple : très satisfait, satisfait, insatisfait et très insatisfait) plutôt que cinq choix (avec neutre au milieu). Les résultats seront ainsi plus parlants.

Conservez une écriture simple pour que les lecteurs ne se cassent pas la tête avec votre sondage. Assurez-vous que les consignes sont claires. Soignez votre introduction. C’est à cette étape que vous vendez votre projet, vous devez convaincre les gens de participer en mettant de l’avant l’aspect utile de la chose (et son côté ludique). Même chose pour la sortie du questionnaire. Vous devez mettre de l’avant l’importance de l’avis des répondants.

Ne sous-estimez jamais le temps que va prendre le sondage. S’il demande dix minutes, ne dites pas qu’il prend sept minutes à remplir. Aussi, variez les formats de questions pour éviter que les répondants passent en mode « pilote automatique ».

Enfin, ne perdez jamais de vu l’objectif de votre questionnaire et évitez de courir plusieurs lièvres à la fois en ayant plusieurs objectifs.

Sondage en ligne : les outils

Il y a de nombreux outils en ligne pour effectuer des sondages. La plupart sont très peu coûteux et, dans certains cas, il est même possible d’utiliser des outils gratuits. Ces derniers offrent moins de fonctionnalités, mais sont suffisants pour de petits mandats.

Personnellement, je travaille surtout avec Survey Monkey, mais voici cinq systèmes qui offrent une interface en français :

Chacun comporte quelques particularités, mais le processus est souvent semblable. On doit ouvrir un compte en ligne. Ensuite, on nous propose des modèles pour la présentation. Il y a aussi des outils pour bâtir le questionnaire en choisissant le type de questions à poser : choix multiples, questions ouvertes, échelle d’évaluation, etc. On peut diffuser son sondage par courriel ou même l’afficher sur nos réseaux sociaux. Enfin, on a accès à un tableau de bord avec différents graphiques pour faciliter l’analyse de l’information qui est collectée automatiquement.

Quel type de renseignement peut-on obtenir avec un sondage?

Le sondage va permettre de se renseigner sur sa clientèle ou sur ses clients potentiels en découvrant ses caractéristiques et ses habitudes d’achat.

Le sondage permet aussi :

  • d’identifier des problèmes
  • de tester de nouvelles idées (par exemple avant de lancer un produit ou un service)
  • de voir quels sont les besoins non comblés dans un secteur d’activité
  • de mesurer la satisfaction des clients et même des employés.

En fait, les usages sont multiples et on peut y recourir à différents moments clés de la vie de notre entreprise : lors d’un lancement pour effectuer l’étude de marché, lors de la croissance, au moment de lancer un nouveau service, etc. De plus, le sondage entraîne des bénéfices collatéraux. C’est même un outil de promotion indirecte de votre entreprise et de ses produits en aidant votre réputation dans votre domaine auprès des répondants.

Petit truc en terminant

La plupart du temps, l’adresse qui mène à votre sondage sera trop compliquée pour être inscrite sur un carton d’invitation ou tout autre document physique. Il y a quelques années, j’ai vécu une expérience compliquée alors que je travaillais pour un éditeur. Nous voulions inviter les gens à participer à notre sondage par une lettre glissée dans une revue. À ce moment, le lien pour atteindre le sondage était tellement long que je ne voyais pas comment l’intégrer à notre document d’invitation. Avec le recul, la solution est simple. Il faut mettre un lien qui mène à votre site (par exemple : plafrance.com/sondage). Ensuite, il suffit de faire une redirection vers la page du sondage. Simple… quand on connait le truc!

Écrire pour le web présente plusieurs particularités. Je viens du milieu des médias écrits. Dans un article de journal, on essaie, idéalement, d’éviter les répétitions. Sur un blogue, on tente, au contraire, de marteler nos mots-clés pour faciliter le référencement. Certains principes demeurent les mêmes : un titre accrocheur, une écriture simple, des phrases pas trop compliquées, des verbes d’action et, surtout, une bonne révision orthographique. Toutefois, il y a quelques astuces à garder en tête quand vient le temps d’écrire pour le web. Je vais vous donner quelques clés pour améliorer le référencement naturel de vos textes.

Le titre

Comme pour n’importe quel article, on cherche un titre qui va attirer l’attention. Il y a toutefois certaines particularités. D’abord, on va y mettre le mot clé principal. Idéalement, au début du titre. Un truc peut être de formuler le titre sous forme d’appel à l’action. Enfin, il faut que le titre demeure court : entre 35 et 65 caractères.

Répéter le mot clé principal

Écrire pour le web, c’est répéter. Il faut insérer le mot clé principal le plus souvent possible. Notamment dans le titre (tel qu’expliqué plus haut), dans les sous-titres et dans le premier paragraphe du texte. Plus la densité sera forte, meilleur sera le référencement. Ce n’est pas compliqué, vous devez même l’utiliser dans l’URL principal de l’article. Évitez toutefois l’abus. On ne pourrait pas juste mettre le mot clé répété une centaine de fois sans contexte, sans phrase. Google le détecterait et on en subirait les conséquences avec un très mauvais référencement.

Intégrer les mots clés intermédiaires

S’ils ne sont pas aussi présents que le mot clé principal, ces mots-clés doivent quand même apparaître quelques fois dans le texte. Cela va aider votre référencement naturel, mais aussi vos campagnes marketing en diminuant le coût de votre référencement payant (par exemple avec une campagne Google AdWords). Tenez-en compte au moment d’écrire pour le web.

Aérer le texte

Dans l’écriture pour le web, la lisibilité est un souci constant. Peu importe la longueur du texte, on essaie d’avoir des chapitres courts (environ 150 mots). De plus, on ajoute régulièrement des sous-titres (entre chaque bloc de 250 à 300 mots environ).

Des phrases courtes

Écrire pour le web (ou pour tout autre médium) est une activité de télépathie. On essaie de transmettre les images qui sont dans notre tête à nos lecteurs. Pour que cette transmission soit réussie, il faut tout mettre en oeuvre pour être compréhensible. À moins d’avoir un blogue à vocation littéraire, visez la clarté. Sujet-verbe-complément. J’exagère un peu, mais l’idéal est d’utiliser des phrases de moins de 20 mots avec une ponctuation simple. Et, pour rendre le tout plus vivant et efficace, abusez des verbes d’action.

Donner le ton à votre texte

Dans tous les articles, mais plus particulièrement quand on veut écrire pour le web, il faut donner une mise en contexte dès l’introduction. En terminant les premières lignes, le lecteur doit savoir ce qu’il va apprendre. En gros, vous prenez l’engagement de traiter de tel ou tel sujet.

N’ayez pas peur du contenu

J’en ai parlé quelques fois (entre autres sur la question de la stratégie de contenu), mais c’est important de se questionner sur ce que notre public veut et non sur ce que nous voulons lui dire. Le but de chaque entreprise est de vendre son produit ou son service. Mais dans le monde virtuel, il faut plutôt chercher à s’établir comme un spécialiste dans son domaine en discutant de sujets qui intéressent nos lecteurs. Ainsi, le texte ne peut pas être trop long… dans la mesure où il est pertinent. Même que l’écriture pour le web a besoin d’une certaine consistance (au moins 300 mots) afin de nourrir les moteurs de recherche.

Les points de forme

Petite parenthèse ici sur les points de forme (les fameuses listes avec des points). Ils peuvent être positifs comme négatifs. Si vous avez un texte suivi et qu’ensuite vous avez un récapitulatif avec des points de formes, c’est excellent. C’est même une façon de répéter certains mots-clés. Toutefois, j’ai un client qui n’avait que des points de formes pour décrire ses différents services sur son site web. Cela donnait quelque chose comme :

• Bon
• Pas cher
• Efficace

Il manquait de textes pour nourrir les moteurs de recherche. Quand le même client a voulu faire une campagne Google AdWords, il s’est rendu compte que plusieurs mots clés n’apparaissaient pas sur son site. Les autres n’apparaissaient qu’une seule fois. Résultat : une campagne coûteuse avec peu de résultats.

Écrire pour le web : au-delà du texte

Écrire pour le web va au-delà des mots. C’est aussi l’ensemble des éléments inclus dans notre texte. En plaçant des liens internes (vers d’autres articles de notre blogue par exemple) ou externes, on vient ajouter de la crédibilité à notre texte. Et les moteurs de recherches adorent ce genre de chose. Alors, n’hésitez pas à le faire, cela va avoir des effets bénéfiques sur votre référencement.

Et n’oubliez pas de mettre des photos en lien avec le sujet. Cela attire l’œil et va inciter les gens à lire davantage. Ça va aussi aider lorsque vous allez partager votre texte sur les médias sociaux (les publications avec photo attirent davantage d’interactions que celles qui en sont dépourvues). Enfin, cela va aussi aider votre référencement (encore plus si vous avez des balises alternatives contenant le mot clé principal).

En ce moment, dès qu’on parle avec un spécialiste des médias sociaux, un des premiers termes qui lui vient à la bouche est landing page.  Je le sais, je le fais aussi. Et, la plupart du temps, je vois des points d’interrogation dans les yeux de mes clients qui ignorent ce que je veux dire par là. Sauf qu’ils n’osent pas poser la question de peur d’avoir l’air fou. Alors pour tous ceux qui n’osent pas poser la question, voici une petite explication sur ce qu’est une landing page. Certains parlent de squeeze page, de page de capture ou de page d’atterrissage. Tous ces mots reviennent au même.

En gros, c’est la page où vos visiteurs vont arriver après avoir cliqué sur votre publicité. Bien sûr, ils peuvent arriver sur votre page d’accueil, mais est-ce la meilleure façon d’optimiser leur expérience? Assurément pas. C’est de là que vient l’importance de la landing page.

La landing page : une continuité logique de votre publicité

Si vous avez fait une bonne publicité, vous avez vendu quelque chose au client potentiel pour qu’il décide de cliquer dessus. Vous avez mis de l’avant une expérience unique, un avantage significatif. S’il arrive sur votre page d’accueil et doit chercher lui-même pour trouver l’information vous allez en perdre plus de la moitié.

La landing page doit être conçue comme un complément à votre publicité. Par exemple : vous annoncez sur votre publicité Facebook que vous offrez un guide complet des prochaines courses à pied qui seront présentées cette année au Québec. Il faut que lorsque l’on clique dessus, on arrive à une page spécifiquement conçue pour ça. Sur cette page, on trouve : un titre accrocheur avec idéalement un verbe d’action qui reprend la promesse (par exemple : Trouvez toutes les courses au même endroit), un visuel punché, mais pas trop chargé et une méthode simple et efficace pour commander le guide directement sur la page. Ensuite, si le client complète l’action (ici s’inscrire pour recevoir le guide), il est ramené à la page d’accueil.

Il y a aussi la question du texte. Tout le monde dit qu’il faut faire court sur le Web et ce n’est pas faux. Par contre, si c’est intéressant, utile et en lien avec la promesse faite au client, la longueur n’est pas un problème. Il faut seulement s’assurer d’avoir un texte bien construit, intéressant et surtout qui répond aux besoins du visiteur.

Comment réussir sa landing page?

Le secret d’une landing page réussie, c’est dans la personnalisation. Il faut s’adapter au canal par lequel les gens sont arrivés. J’ai déjà parlé de la publicité Facebook. Pour AdWords, il faut que les mots clés utilisés lors de la recherche soient repris sur la page (idéalement dans le titre). Il y a moyen de les insérer dynamiquement avec un logiciel de création de landing page.

Un autre élément essentiel à la réussite de sa landing page : créer plusieurs versions. En effet, avec les tests A/B, on peut créer différentes versions avec des éléments différents (graphisme, typographie, texte, image, etc.) et voir ce qui est plus efficace pour raffiner sa page au fil du temps.

Créer sa landing page

Bien sûr, on peut créer sa page de capture avec WordPress (ou peu importe le logiciel avec lequel vous créez votre site Web), mais je recommande de travailler avec un logiciel conçu pour ça qui permet plus de flexibilité, entre autres dans la création des différentes versions.

Je sais que certains n’ont pas pas le temps/l’argent/l’envie de faire une landing page. Assurez-vous au moins de bien cibler l’endroit où votre visiteur va atterrir. Par exemple, si votre publicité Facebook parle d’un de vos services en particulier, il faudrait que la personne arrive sur la page de ce service. Évitez autant que possible de l’amener sur la page d’accueil quand elle clique sur votre publicité.

Vos publicités Facebook manquent d’efficacité ? Vous aimeriez développer une landing page accrocheuse ? N’hésitez pas à me contacter pour mettre au point une stratégie gagnante.

Je crois à l’importance des médias sociaux. Je passe beaucoup de temps à y travailler pour mon entreprise ou celle de mes clients. Cela dit, je crois que trop de gens oublient que les grands principes des médias sociaux s’appliquent aussi (d’abord) au monde réel. L’équivalent de Facebook ou de LinkedIn dans le monde réel s’appelle le réseautage.

Par exemple, que fait-on lorsqu’on cherche un mécanicien? Le premier réflexe sera de demander autour de nous si quelqu’un en a un à recommander. Cela peut se faire en ligne ou dans le monde réel. Le réflexe est le même. Seuls les outils changent.

Les bienfaits du réseautage

Pour un entrepreneur, le développement de son entreprise va passer par le bouche à oreille. Et pour lancer le processus, il faut faire des efforts pour se faire connaître. Ces efforts peuvent se faire en ligne avec les médias sociaux comme en personne avec le réseautage. Le principe est simple : il faut donner pour recevoir. Et ce n’est pas toujours la personne qu’on a aidé qui va nous donner un coup de main en retour. C’est la beauté de la chose.

Même si je crois énormément aux bienfaits des médias sociaux, je persiste à croire que le meilleur contact avec un prospect se fait en personne avec une poignée de main. Et il y a tout plein de groupes qui existent déjà pour faire ce réseautage. Il suffit de se renseigner. Les chambres de commerce, les jeunes chambres de commerce, les groupes BNI et les autres groupes de réseautage peuvent vous faire gagner du temps. En fait, si on cherche bien, on se rend compte qu’il y en a qui convienne à toutes nos réalités.

Le seul problème, c’est qu’on peut y toucher un nombre limité de personnes à la fois. C’est pourquoi je conseille de joindre cette stratégie plus directe qui donne des résultats souvent plus solides, à une stratégie en ligne qui permet de toucher une masse de clients potentiels plus large en moins de temps et avec moins d’effort. C’est d’autant plus efficace que les habitudes de consommation changent. Les études montrent que les gens ont de plus en plus tendance à rechercher sur les médias sociaux avant de passer à l’action lorsqu’ils magasinent.

Une amie et collaboratrice, Caroline Vézina, a aussi parlé du réseautage sur son blogue. Je vous invite à lire son texte qui aborde la question sous un angle différent du mien.